
En 1806, plusieurs élèves de collège de Windfield sont les témoins d’un accident au cours duquel un des leurs trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment un accident ? Les secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins d’Edward, riche héritier d’une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre et réprouvé, de Micky Miranda, fils d’un richissime Sud-Américain.
Autour d’eux, des dizaines d’autres figures s’agitent dans cette société où les affaires de pouvoir et d’argent, de débauche et de famille, se mêlent inextricablement derrière une façade de respectabilité…
Editions Le Livre de Poche 1998 – 626 pages
Mon avis : Même si l’intrigue est bien différente de « Le pays de la liberté » de cet auteur, j’ai aimé retrouvé le style de sa plume.
Ken Follett nous plonge donc dans la fin du XIXe siècle où affaires de pouvoir et d’argent sont au centre de ce récit. Bien que je n’ai pas de connaissance sur le monde de la banque avec ses profits etc… j’ai néanmoins trouvé ce récit très passionnant par le fait qu’il y a des complots, des mensonges, des mariages arrangés et aussi une belle histoire d’amour en fond.
Quant aux personnages, leur caractère nous est tellement bien dépeint qu’il y en a donc que l’on déteste et d’autres que l’on apprécie vraiment.
Il y a une scène vers la fin, sur le sort d’un des mauvais protagonistes, qui m’a fait sourire. Pour ce qui est du dénouement, il est réussi même si pas inattendu mais c’est ce que j’attendais.
Pour conclure, même si ce roman n’est pas un coup de cœur, il s’en approche tout de même sauf qu’en comparaison, j’ai apprécié davantage « Le pays de la liberté ».
« Le monde est plein de pauvres qui comprennent que l’amour et l’amitié comptent plus que la richesse. »
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Maggie